Témoignages des professionnels de santé

 » Le neurofeedback me paraissait comme une nouvelle méthode de bien être qui n’a pas de résultats scientifiques, mais seulement une énième méthode placebo. Force à moi de constater sur mes patients, mais pas que, les résultats sont bien là ! une net amélioration a pu se constater chez chacun des patients, quelques soit la raison pour laquelle ils ont eu à faire au Neurofeedback.  »

David Glaser, Médecin Généraliste

« D’après mon expérience avec le neurofeedback et le trouble du déficit de l’attention, beaucoup d’enfants parviennent à améliorer leur capacité de lecture et à diminuer leur besoin médicamenteux*. Le neurofeedback aide aussi à réduire leur impulsivité et leur agressivité. C’est un outil performant en partie parce que le patient participe au traitement en prenant plus le contrôle de ses propres processus physiologiques. »

Daniel Amen, Neuroscientifique clinique, Psychologue pour enfant et adolescent

« Pour les maladies chroniques telles que l’épilepsie, la dépression, l’hyperactivité, les troubles de l’alimentation, les blessures au cerveau et autres maux, c’est-à-dire le type de maladies contre lesquelles la médecine conventionnelle n’excelle guère, le neurofeedback est sous maints aspects plus utile que les médicaments, avec beaucoup moins d’effets secondaires. »

Jamie Deckoff-Jones, Médecin

« Le neurofeedback est un de ces outils très accessibles, et c’est un bon outil. Comme tous les outils, il ne marche pas pour tout le monde mais il est bénéfique à la plupart des gens. Il accélère la disparition des symptômes et le développement d’une saine autorégulation, c’est-à-dire qu’il aide le corps du patient à s’auto-ajuster. »

Thomas Brod, Psychiatre

A la suite d’une étude d’une année portant sur 100 enfants atteints de troubles du déficit de l’attention (TDA) : « Tous ceux qui ont suivi des séances de neurofeedback ont pu réduire leur posologie au moins de moitié* tout en conservant les bénéfices de leur traitement. Et environ 40% ont pu cesser de prendre leurs médicaments*. »

Vincent J. Monastra, Docteur, Directeur de clinique

 

Témoignages de sportifs de haut niveau  

“Plusieurs athlètes ne jurent que par le Neurofeedback et disent que cela améliore leurs performances. Parmi eux, la championne de tennis Mary Pierce et le skieur médaillé d’or olympique Hermann Maier… Le but du Neurofeedback, qui devient de plus en plus populaire pour les professionnels comme pour les amateurs, est d’entrainer le psychisme de telle sorte qu’un athlète puisse rester concentré en compétition”.

D .T Max, journaliste à Men’s Vogue

Quatre joueurs de football de l’équipe nationale italienne ont bénéficiés d’un entrainement intensif de neurofeedback avant la coupe du monde de 2006.  Alessandro Nesta, Alberto Gilardino, Gennaro Gattuso et Andrea Pirlo ont reçu des séances de neurofeedback afin d’accroitre leur capacités de concentration et de résistance psychologique au stress, dans une salle spécialement équipée pour la AC Milan appelée “Mind room”.

« Le neurofeedback est l’avenir des sports de compétition. Cela ma aidé à me concentrer et à rester détendu malgré la pression. »

Richard Faulds, médaille d’Or aux jeux olympiques de Sydney (2000)

« Le neurofeedback répond aux critères de l’Académie Américaine de Psychiatrie des Enfants et des Adolescents comme recommandation clinique pour le traitement du trouble du déficit de l’attention et hyperactivité (TDA/H), de l’épilepsie, de l’anxiété (Trouble Obsessionnel Compulsif – TOC, Syndrome de Stress Post-Traumatique, phobies), de la dépression, des difficultés de lecture, et de la dépendance à l’alcool ou aux drogues. Cela suggère que le neurofeedback devrait toujours être envisagé par les cliniciens comme méthode d’intervention pour ces troubles. »

Les rédacteurs de la revue Child and Adolescent Psychiatric Clinics of North America

« La littérature scientifique […] suggère que le neurofeedback devrait jouer un rôle majeur dans de nombreux domaines difficiles. A mon avis, si n’importe quel médicament avait fait la preuve d’une efficacité aussi étendue, il serait universellement accepté et largement utilisé… C’est un domaine à prendre au sérieux par tous. »

Frank H. Duffy, Neurologue, Professeur à l’Ecole de Médecine de Harvard,
Directeur du département d’imagerie cérébrale de l’hôpital pour enfants de Boston

« Nous avons réalisé des études décisives indiquant en fin de compte que le neurofeedback fonctionne de façon importante. Le neurofeedback est encore considéré comme une médecine alternative, mais certaines personnes refusent totalement la médecine conventionnelle. Un très grand nombre de gens a vraiment hâte d’utiliser cette méthode. »

Eran Zaidel, Professeur de neuroscience comportementale et cognitive
à l’Institut de Recherche sur le Cerveau de l’Université de Los Angeles

« Le neurofeedback améliore l’épilepsie, la dépression, le manque de confiance en soi ou les blessures à la tête congénitales et la ‘folie’ qui les accompagne souvent… Les patients rapportent qu’ils dorment mieux et se sentent mieux, ils n’ont plus de crises, ils se contrôlent mieux et ils sont plus performants. C’est efficace pour les blessures à la tête. C’est efficace pour les maladies neurologiques chroniques sans blessure mais avec disfonctionnement cérébral. Nous avons eu de bons résultats avec la sclérose multiple, l’encéphalopathie toxique (un empoisonnement chimique dégradant le fonctionnement neurologique par exemple), avec les douleurs chroniques, les migraines et la fibromyalgie. »

Jonathan Walker, Neurologue

* Toujours en accord avec le médecin traitant.

 

« Je pense que toutes les compétitions nécessitent de la concentration. Des échecs aux compétitions de mémorisation et du golf au ball-trap, les champions de demain devront aiguiser leur esprit par le neurofeedback. Le sportif qui ignore cette technologie révolutionnaire sera dépassé. »

Dominic O’Brien, World Memory Champion

 

  • Remarque sémantique : les professions médicales ci-dessus qui pratiquent le neurofeedback parlent de traitement et de patient bien que le neurofeedback ne soit pas en soi un traitement médical. Lorsque le praticien de neurofeedback n’est pas médecin, il utilise habituellement les termes d’exercice ou d’entraînement et de client. En tant qu’association mettant son équipement de neurofeedback à la disposition de ses membres, l’ADNF emploie les termes d’exercice ou d’entraînement et d’utilisateur.